El porqué de este blog.

Con mi algo de experiencia profesional en comercio internacional y algo más en el uso de la información que se hace en este campo, quiero recoger en este blog aquellas opiniones, argumentaciones o diagnósticos que nos aporten más conocimiento en materia de IEI.
Y continuar así mi recorrido por la Inteligencia Económica que empecé allá por 1996, en París.

Estoy convencida de que la Inteligencia Económica Internacional es una potente herramienta para reforzar la competitividad de las empresas españolas, de los profesionales y de los expertos públicos o privados en el campo del comercio internacional.

Espero compartir opiniones, debates y propuestas, siempre con un enfoque abierto a los escenarios globales.
Y no sólo en este blog: espero también en ASEPIC, Asociación Española para la Promoción de la Inteligencia Competiva, de la que soy socio individual (www.asepic.com.es).

Inés Robredo.

jueves, 20 de agosto de 2009

la IE, la información, las preguntas y la creación de valor añadido.

Fuente: blog RenseignementEconomique
http://www.renseignementeconomique.com/article.php3?id_article=14

IEI - un extracto de un post, ya antiguo, con ideas-fuerza, muy vigentes hoy:
- la IE, la creación de empresas y el mantenimiento de las existentes, y la competencia publico-privada en materia de IE que favorece el mejor entorno para que las empresas se hagan y sepan contestar las preguntas adecuadas, para crear VA.

"A la question : comment donner un emploi pour tous afin de se nourrir, de rester en bonne santé et d’avoir le sentiment d’être heureux de temps en temps ? La réponse la plus partagée aujourd’hui, c’est de favoriser la création d’entreprises et la pérennité de celles qui existent. C’est pourquoi il est intéressant de se poser la question de la performance durable dans le champ des entreprises, créatrices de croissance et d’emplois.

La France possède beaucoup de records mais il en est un créateur de croissance interne qui se nomme : productivité. Nous arrivons, mieux que beaucoup de pays anglo-saxons, à réduire nos coûts pour rester compétitifs sur le plan mondial. Malheureusement, ces baisses de coûts manquent encore trop souvent de créativité lorsqu’ils se traduisent par des licenciements. Dans d’autres cas, cela paraît alors magique ! Car nous n’utilisons que les idées d’une poignée de nos élites. Ainsi, deux concurrents de l’industrie alimentaire, Danone et Nestlé, partagent la même plate-forme électronique pour réaliser leurs milliards d’achats et économiser plus de 5% du montant total, deux ans après cet investissement.

Depuis les années 70, nous n’avons toujours pas de pétrole mais beaucoup d’idées. Il est temps que ces élites cessent d’occulter leur part d’ignorance, aveuglés par l’éclat de leurs réussites passées et la sacro-sainte puissance de leurs réseaux humains. Il faut chercher à poser les bonnes questions pour que tous les professionnels, dans l’environnement de leur entreprise, qui « matérialisent » les actifs immatériels du capital de connaissances donnent des réponses à fortes valeurs ajoutées. Claude Lévi Strauss a écrit : « Le savant n’est pas l’homme qui fournit les vraies réponses, c’est celui qui pose les vraies questions. »

A ce droit de réponse, il existe un pré-requis : le devoir de partager l’information. Certains visionnaires chez Accord, entre autres, ont réussi à contourner le comportement individualiste de nos sociétés en remerciant les employés qui sont solidaires par des avantages compensatoires.
C’est à ces deux conditions et sans doute encouragé par l’influence positive extérieure des sociétés d’intelligences collectives asiatiques que Monsieur Alain Juillet, premier patron en charge de la maîtrise de l’intelligence économique au sommet de l’Etat, pourra construire le chemin des nouveaux réseaux d’informations et d’une mémoire collective tous deux fondés sur une technologie et des hommes.

Le partage de la connaissance avec l’Etat peut se traduire par une offre existante mais à moindre coût de renseignements analysés, d’une formation à la protection des actifs ou d’une technologie de recherche intelligente. Seul le premier cas ne positionnera pas l’Etat en concurrence avec le marché privé."

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